Comme tout aliment riche, le chocolat doit être consommé avec modération. Mais on l’a accusé de bien des choses… Qu’en est-il aujourd’hui des connaissances scientifiques sur les bienfaits du chocolat ou ses méfaits ? Nous vous proposons quelques éléments de réponses sur les neuf préjugés suivants.
La transformation en cacao commence vraiment à l’arrivée des fèves chez le fabricant. Ces dernières sont d’abord nettoyées : différentes machines effectuent aujourd’hui cette tache, mais c’est à l’homme qu’il revient ensuite de trier les fèves pour choisir celles qui ont atteint le degré de maturité, de fermentation et de séchage requis.
Le cacaoyer pousse sous un climat chaud, entre 20 et 25°c, et humide, entre 20° de latitude nord, et 20° de latitude sud. Semés puis élevés en pépinières, les cacaoyers sont plantés dès l’âge de 2 ans, espacés d’au minimum 2m50. Le cacaoyer a besoin d’ombre pour s’épanouir, et d’une protection contre la pluie et le vent, on le plante donc généralement à l’ombre de citronniers, de bananiers, ou d’un arbre à croissance rapide appelé « érythrine », et surnommé « la mère du cacao ». Une fois adulte, le cacaoyer pourra se passer de cette protection.
Il existe trois grandes variétés botaniques de cacao, et chaque variété se décline en une multitude de crus de chocolat spécifiques, comme les cépages vinicoles.
Le chocolat fait aujourd’hui partie intégrante de la vie d’un grand nombre de sociétés partout dans le monde. C’est la troisième denrée alimentaire mondiale en terme de marché. C’est aussi un aliment incroyablement flexible, qui se prête indéfiniment à toutes sortes de métamorphoses et d’accommodations. Pâte, poudre, liquide, plaquettes, bouchées, mais aussi mélanges épicés, accompagnement de plats salés, et même composé pharmaceutique, le chocolat est partout. Nous vous proposons ici de découvrir l’histoire de cette incroyable denrée.